Désireux depuis longtemps d’échanger sur le quotidien de notre société contemporaine, pamphlétaire anarchisant et libertaire, Richard Gauteron trouve enfin, bien que tardivement diront certains souvent plus jeunes et au fait des outils de la cybercommunication, moyen de le faire avec légèreté et vivacité sans passer par le théâtre, dont l’élaboration scénique demande du temps et des moyens, voire des relations ou l’édition qui n’en réclame pas moins.
Aventure dont on verra la pertinence ou le fantasme mais qui n’engagera que son auteur comme le disait si bien Alexandre Vialatte, l’immense et délicieux chroniqueur du quotidien La Montagne ;
« Et c’est ainsi qu’Allah est grand ! »